Premièrement, la durée du contrat de location doit être égale ou supérieure à 75 % de la durée de vie utile de l’actif.

Un contrat de location-acquisition est un exemple de l’inclusion des événements économiques dans la comptabilité d’exercice, qui exige qu’une entreprise calcule la valeur actuelle d’une obligation dans ses états financiers. Par exemple, si une entreprise estime que la valeur actuelle de son obligation en vertu d’un contrat de location-acquisition est de 100 000 $, elle inscrit alors une écriture de débit de 100 000 $ au compte d’immobilisations correspondant et une écriture de crédit de 100 000 $ au compte de passif de location-acquisition dans son bilan.

Parce qu’un contrat de location-acquisition est un accord de financement, une entreprise doit ventiler ses paiements de location périodiques en frais d’intérêt en fonction du taux d’intérêt applicable à l’entreprise et en frais d’amortissement. Si une entreprise effectue 1 000 $ de paiements de location mensuels et que son intérêt estimé est de 200 $, cela produit une écriture de crédit de 1 000 $ au compte de trésorerie, une écriture de débit de 200 $ au compte de frais d’intérêt et une écriture de débit de 800 $ au compte de passif de location-acquisition.

Une entreprise doit également amortir l’actif loué qui tient compte de sa valeur de récupération et de sa durée de vie utile. Par exemple, si l’actif susmentionné a une durée de vie utile de 10 ans et aucune valeur de récupération selon la méthode de l’amortissement linéaire, l’entreprise enregistre une écriture de débit mensuelle de 833 $ au compte de la charge d’amortissement et une écriture de crédit au compte de l’amortissement cumulé. Lorsque le bien loué est cédé, l’immobilisation est créditée et le compte d’amortissement cumulé est débité pour les soldes restants.

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